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mardi, juillet 1, 2025
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Yves Wespisser : la cybersécurité est un point à améliorer en France

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Ces dernières années, la cybercriminalité n’a cessé d’augmenter en France. Et que ce soit les entreprises ou les particuliers, les cybercriminels ne font plus exception. Et c’est tout à fait normal vu que tout passe par internet. Envoyer de l’argent, transférer des données, etc. On fait absolument tout sur internet. Or, ce qu’on ne sait pas, c’est que les cybercriminels ont les compétences de nous voler en une fraction de seconde. Selon Yves wespisser, la cybersécurité est un point à améliorer en France. Et il nous en parle dans cet article.

La cybersécurité : tout ce qu’il faut savoir, par yves wespisser

La cybersécurité est un domaine très large. Elle consiste à protéger les PC, les serveurs, les appareils électroniques, les données et les réseaux contre les éventuelles attaques des cybercriminels. La cybersécurité est également connue sous le nom de sécurité des systèmes d’information ou sécurité informatique. Selon yves wespisser, la cybersécurité se divise en différentes catégories. Il y a d’abord la sécurité réseau. Elle consiste à protéger le réseau informatique contre les hackers ou les malwares. Ensuite, il y a la sécurité des applications. Comme son nom l’indique, elle consiste à protéger les logiciels, mais aussi les appareils contre les menaces. Après les applications, il y a aussi les données qu’il faut protéger. Que ces dernières soient stockées ou en transit, il est important de bien les protéger. Toujours dans le domaine de la sécurité, il y a aussi ce qu’on appelle la sécurité opérationnelle qui comprend les processus ainsi que les décisions concernant la protection et le traitement des données. Il faut savoir que la cybersécurité a été conçue pour contrer trois types de menaces : la cybercriminalité, les cyberattaques ainsi que le cyberterrorisme. En France, la cybersécurité est un point qui nécessite encore des améliorations. Yves wespisser en parle dans le paragraphe qui suit.

La cybersécurité : un point à améliorer

cybersécurité
Crédits : Pixabay

En France, la cybersécurité est une affaire d’État. Suite aux multiples attaques en ligne, le ministère des Armées a fait de la cybersécurité l’un des sujets majeurs. D’ici 2025, le ministère envisage de recruter environ 1 900 cybercombattants. L’objectif étant d’en avoir 5 000. Selon l’ancienne ministre des Armées, Florence Parly : « Notre supériorité opérationnelle, c’est-à-dire la capacité à garder l’avantage sur le terrain face aux acteurs malveillants, dépend de notre maîtrise du champ numérique. Cela signifie mieux anticiper les menaces, mieux détecter et caractériser les attaques pour se donner les moyens de les attribuer. Il s’agit d’en protéger nos réseaux, de sensibiliser nos partenaires industriels et nos prestataires vis-à-vis de leurs propres réseaux. Il s’agit donc de nous défendre, mais aussi de pouvoir répliquer quand cela est nécessaire, et ce, même si la France est opposée à une militarisation du cyberespace ». Aussi, malgré l’enveloppe d’un milliard d’euros promis par le gouvernement pour accélérer la filière, la cybersécurité reste toujours un point à améliorer. Selon les estimations, il faudra attendre 2025 pour espérer atteindre les objectifs visés. Pour en savoir davantage sur le sujet, Yves wespisser est disponible pour répondre à toutes les questions.

Jeanne
Je m’appelle Jeanne Marceau, j’ai 43 ans, et je suis convaincue que l’actualité internationale mérite plus qu’un traitement rapide et désincarné. Elle mérite un regard. Un rythme. Une voix.Je suis analyste en relations internationales, mais je me définis surtout comme passeuse de récits mondiaux. Pendant plus de quinze ans, j’ai travaillé comme consultante pour des ONG, des institutions européennes et des think tanks. Ce que j’y ai appris ? Derrière chaque décision géopolitique, il y a une émotion collective, un motif sous-jacent.J’ai créé Lemotif pour explorer ces motifs : les fils invisibles qui relient une manifestation en Iran à un vote parlementaire en Suède, une grève au Kenya à une décision monétaire à Washington. Je ne fais pas de breaking news. Je tisse du sens. Je raconte l'international à hauteur humaine, là où le local devient mondial, et inversement.Ce qui me rend unique ? En dehors des rapports et des articles, je suis aussi collectionneuse d’estampes anciennes, venues du Japon, de Perse ou de Russie. Ce sont mes contrepoints silencieux : images fixes de mondes lointains, où chaque détail est signifiant, comme un morceau de carte mentale. C’est cette attention au détail, au contexte, au récit latent que j’essaie de transmettre dans mon travail.📌 Ce que vous trouverez sur Lemotif : – Des analyses internationales racontées à la première personne, avec un fil narratif fort – Des articles qui relient géopolitique, culture, mémoire et émotions collectives – Une écriture qui cherche le motif caché, le pourquoi derrière le quoi – Des regards croisés entre histoire, art, société civile et diplomatie – Une voix calme, lucide, non partisane, mais résolument engagée pour la compréhensionJe ne prétends pas être exhaustive. Je cherche à être juste, nuancée, reliée.Bienvenue sur Lemotif. Ici, le monde ne se lit pas en blocs, mais en lignes fines.

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