19 C
Rennes
samedi, juin 28, 2025
AccueilEmploi et FormationQuelle formation faut-il suivre pour devenir plombier ?

Quelle formation faut-il suivre pour devenir plombier ?

Date:

Articles en Relation

Maîtriser les règles du blackjack avant de jouer

Quand on est un débutant au blackjack online, il...

Comment la marque Sacet réinvente la joaillerie avec des bijoux éthiques ?

Pendant de nombreuses années, l'univers de la joaillerie a...

Quelle est la durée de formation d’un gestionnaire de paie ?

Le gestionnaire de paie est aujourd’hui un professionnel incontournable...

Le plombier, c’est le spécialiste à appeler en cas de fuite d’eau, de débouchage de canalisations… mais il intervient aussi dans l’installation de sanitaires, de piscine, de système de chauffage… C’est un métier intéressant offrant plusieurs perspectives, mais devenir plombier ne se fait pas en un jour. Il faut suivre des formations pour maîtriser parfaitement cette activité.

Le métier de plombier

Le plombier 75016 est un professionnel du bâtiment avec des compétences diversifiées. Ses missions se déroulant en intérieur s’adressent aux professionnels et aux particuliers. C’est l’expert à appeler pour la mise en place de réseaux de distribution d’eau, l’installation de chauffe-eau, la pose et le raccordement des appareils sanitaires (baignoire, lavabo, évier…) et de la robinetterie ainsi que la réfection et l’entretien des installations déjà existantes. Il peut aussi prendre en charge la pose et l’entretien des chaudières, mais il doit suivre une formation de plombier chauffagiste. Ce professionnel doit également maîtriser la soudure, l’assemblage et le façonnage des matériaux et avoir une bonne connaissance des réseaux de distribution d’eau et de gaz. Il faut qu’il connaisse toutes les règles de sécurité en rapport à son travail. Afin de réaliser toutes ces tâches, le futur plombier doit se former, et différentes options s’offrent à lui.

Les formations pour devenir plombier

devenir plombierSi vous souhaitez devenir plombier, pour vous lancer, vous n’aurez pas besoin du bac ou d’autre diplôme, il est possible suivre la formation après la 3ème. Vous devrez suivre des études de plomberie qui vous permettra d’obtenir un diplôme. Vous avez la possibilité de vous former au CAP Installateur de sanitaire, CAP Installateur thermique, BTS génie sanitaire, BP (Brevet Professionnel/CAP+2 ans), Bac professionnel ou MC (Mention complémentaire) maintenance en équipement thermique. Si vous êtes en activité, vous pourrez suivre votre CAP cours du soir. Mais vous pourrez aussi justifier une expérience professionnelle de 3 ans dans l’Union européenne. Pour le statut, c’est libre, il est possible de choisir l’auto-entrepreneur plombier chauffagiste ou d’intégrer une entreprise. Pour l’évolution de carrière, avec des années d’expérience, le plombier peut devenir chef de chantier, contremaître ou monteur en installation thermique.

Les qualités pour devenir plombier

Certes, la formation qualifiante ou certifiante est essentielle pour devenir un bon plombier, mais ce n’est pas suffisant. Pour exercer ce métier, vous devrez avoir une bonne condition physique, car vous devrez faire beaucoup de déplacements, vous serez amené à porter des charges lourdes, et vous allez adopter des positions de travail pas toujours confortables. Vous devrez également avec une bonne habilité manuelle pour faire toutes les tâches facilement. Notons aussi l’importance du côté commercial pour prospecter et pour fidéliser les clients ainsi que l’esprit méthodique pour gérer le travail en toute facilité. Mais le plombier doit aussi être disponible à tout moment, 24h/24 et 7j/7, même les jours fériés.

Continuez votre navigation avec Quels sont les principaux risques industriels en France ?

Jeanne
Je m’appelle Jeanne Marceau, j’ai 43 ans, et je suis convaincue que l’actualité internationale mérite plus qu’un traitement rapide et désincarné. Elle mérite un regard. Un rythme. Une voix.Je suis analyste en relations internationales, mais je me définis surtout comme passeuse de récits mondiaux. Pendant plus de quinze ans, j’ai travaillé comme consultante pour des ONG, des institutions européennes et des think tanks. Ce que j’y ai appris ? Derrière chaque décision géopolitique, il y a une émotion collective, un motif sous-jacent.J’ai créé Lemotif pour explorer ces motifs : les fils invisibles qui relient une manifestation en Iran à un vote parlementaire en Suède, une grève au Kenya à une décision monétaire à Washington. Je ne fais pas de breaking news. Je tisse du sens. Je raconte l'international à hauteur humaine, là où le local devient mondial, et inversement.Ce qui me rend unique ? En dehors des rapports et des articles, je suis aussi collectionneuse d’estampes anciennes, venues du Japon, de Perse ou de Russie. Ce sont mes contrepoints silencieux : images fixes de mondes lointains, où chaque détail est signifiant, comme un morceau de carte mentale. C’est cette attention au détail, au contexte, au récit latent que j’essaie de transmettre dans mon travail.📌 Ce que vous trouverez sur Lemotif : – Des analyses internationales racontées à la première personne, avec un fil narratif fort – Des articles qui relient géopolitique, culture, mémoire et émotions collectives – Une écriture qui cherche le motif caché, le pourquoi derrière le quoi – Des regards croisés entre histoire, art, société civile et diplomatie – Une voix calme, lucide, non partisane, mais résolument engagée pour la compréhensionJe ne prétends pas être exhaustive. Je cherche à être juste, nuancée, reliée.Bienvenue sur Lemotif. Ici, le monde ne se lit pas en blocs, mais en lignes fines.

Sponsors

Articles en avant