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Comment réussir le concours d’infirmière ?

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Quand on souhaite exercer le métier d’infirmier ou d’infirmière, il faut avoir un diplôme d’État. Pour cela, on peut suivre une formation initiale ou continue dans un IFSI (Institut de Formation aux Soins Infirmiers). Une foi le diplôme obtenu, il est possible de travailler dans un hôpital, dans une entreprise ou dans un établissement scolaire. Mais on peut aussi exercer en libéral et en milieu militaire. Tout de suite, on vous annonce en détail le parcours à suivre pour devenir infirmer et pour réussir le concours.

Les études pour devenir infirmier

infirmiers concours
Crédits : Pixabay

Avant d’annoncer les astuces pour réussir le concours d’infirmier, découvrons d’abord comment devenir infirmière. Afin d’exercer ce métier, il faut suivre une formation de 3 ans dans un IFSI qui est accessible après le BAC. Elle est faite d’apprentissage théorique et d’enseignement pratique en stage. Lors des études, on apprend les sciences humaines et sociales ainsi que les sciences et techniques infirmières. C’est grâce aux stages que l’on valide les 10 compétences des soins infirmiers. Au terme de la formation, il est possible de se spécialiser dans un domaine : gypsothérapie, psychiatrie, santé au travail, stomathérapie, sommeil, douleurs… Toutefois, ces métiers exigent le suivi de formations complémentaires.

Le concours d’infirmier

L’entrée dans un IFSI passe par le fait de préparer concours d’infirmier. La réussite des épreuves permet l’intégration à une formation professionnelle au métier d’infirmier. Le concours se déroule en 2 étapes : les épreuves d’admissibilité et les épreuves d’admission. Les premières sont écrites, et elles se composent en 2 parties : commenter un texte concernant l’actualité, traiter une problématique et donner des arguments basés sur les connaissances ainsi que réaliser un test de logique, de raisonnement et d’aptitude numérique. Ces premières épreuves durent 2 heures et est notée sur 20, tel est aussi le cas pour le test de logique. Les secondes ne se passent que si on ne réussit les épreuves d’admissibilité. Ce sont des épreuves orales d’une durée de 30 minutes. Cela se déroule devant un jury. L’exposé dure une dizaine de minutes après, il y a la présentation du parcours scolaire ou professionnel, des motivations…

Nos conseils pour la réussite du concours d’infirmier

Pour réussir du premier coup le concours d’infirmier, quelques astuces existent. Notre premier conseil est d’avoir une bonne connaissance de son déroulement. Il faut aussi bien se préparer. Il faut travailler et avoir de la motivation pour arriver à s’entraîner et à mémoriser toutes les connaissances. Mais cela ne suffit pas encore, on doit encore bien s’organiser pour savoir quelles informations apprendre tous les jours pour augmenter les connaissances. On met en place des méthodes pour réviser efficacement. Pour augmenter les chances de réussite du concours d’infirmier, il est possible de faire une prépa dans un établissement privé. Toutefois, cela ne dispense pas d’une révision quotidienne des acquis. On complète le tout en regardant les forums axés au métier d’infirmier, on y trouve des informations pour mieux se préparer au concours. On peut également rencontrer des professionnels exerçant dans le milieu pour profiter de leurs expériences. Si on a la possibilité, on fait un stage dans un cadre hospitalier. Cela permet de déjà connaître l’environnement en général des infirmiers et leur façon de travailler.

Jeanne
Je m’appelle Jeanne Marceau, j’ai 43 ans, et je suis convaincue que l’actualité internationale mérite plus qu’un traitement rapide et désincarné. Elle mérite un regard. Un rythme. Une voix.Je suis analyste en relations internationales, mais je me définis surtout comme passeuse de récits mondiaux. Pendant plus de quinze ans, j’ai travaillé comme consultante pour des ONG, des institutions européennes et des think tanks. Ce que j’y ai appris ? Derrière chaque décision géopolitique, il y a une émotion collective, un motif sous-jacent.J’ai créé Lemotif pour explorer ces motifs : les fils invisibles qui relient une manifestation en Iran à un vote parlementaire en Suède, une grève au Kenya à une décision monétaire à Washington. Je ne fais pas de breaking news. Je tisse du sens. Je raconte l'international à hauteur humaine, là où le local devient mondial, et inversement.Ce qui me rend unique ? En dehors des rapports et des articles, je suis aussi collectionneuse d’estampes anciennes, venues du Japon, de Perse ou de Russie. Ce sont mes contrepoints silencieux : images fixes de mondes lointains, où chaque détail est signifiant, comme un morceau de carte mentale. C’est cette attention au détail, au contexte, au récit latent que j’essaie de transmettre dans mon travail.📌 Ce que vous trouverez sur Lemotif : – Des analyses internationales racontées à la première personne, avec un fil narratif fort – Des articles qui relient géopolitique, culture, mémoire et émotions collectives – Une écriture qui cherche le motif caché, le pourquoi derrière le quoi – Des regards croisés entre histoire, art, société civile et diplomatie – Une voix calme, lucide, non partisane, mais résolument engagée pour la compréhensionJe ne prétends pas être exhaustive. Je cherche à être juste, nuancée, reliée.Bienvenue sur Lemotif. Ici, le monde ne se lit pas en blocs, mais en lignes fines.

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